🎨 Que Faire Aujourd Hui Dans La Nièvre

Depuistrois semaines, une maison de la petite commune de Saint-Honoré-Les-Bains dans la Nièvre est squattée par un couple. Le maire et les autorités craignent que la situation ne dégénère. Quefaire aujourd'hui dans la Nièvre ? L'agenda des sorties est là :) Jump to. Sections of this page. Accessibility Help. Press alt + / to open this menu. Facebook. Email or phone: Password: Forgot account? Sign Up. See more of NRJ Nevers on Facebook. Log In. or. Create new account. See more of NRJ Nevers on Facebook. Log In . Forgot account? Lesincendies de Gironde qui ont déjà ravagé plus de 19.000 hectares de forêt, arrivent dans la Nièvre. Déjà dans le Cher depuis la fin d'après-midi, ils viennent de franchir la frontière METEONièvre demain par M6météo. Quel temps fera-t-il demain en Nièvre ? Carte du département, prévisions de température, soleil et pluie. Faireappel à un professionnel pour installer un insert à granulés. Encastré dans une cheminée traditionnelle, l’insert à granulés dans la Nièvre permet un usage moderne avec une bonne économie d’énergie. Il s’agit surtout de redonner vie à la vieille cheminée et le rendant utile à nouveau. M Mitterrand s'est rendu, samedi 29 avril, dans la Nièvre, département dont il a été l'élu pendant trente-cinq ans jusqu'à 1981. Le chef de l'Etat a inauguré les nouveaux locaux de la Lesfromages nivernais. La Nièvre est reconnue comme terre de fromages et, que vous soyez en séjour au nord ou au sud, venez les déguster sur les marchés ou chez les producteurs. Vache, brebis ou chèvre, aucun n'échappe à notre palais. Le plus renommé, le crottin de Chavignol AOP nous offre des arômes qui explosent en bouche tout en Commentobtenir le dossier APA à télécharger ? Dans le cadre d’une première demande d'Allocation Personnalisée d’Autonomie à domicile de la Nièvre, vous devrez télécharger et compléter l’ensemble des pièces demandées par le Conseil Départemental. Le certificat ou questionnaire médical devra être rempli par le médecin traitant afin que l'assistante 0CjIH. Le village de Poil, dans la Nièvre, essaye de surfer sur son nom pour le moins étonnant pour attirer les visiteurs. Visite guidée... Par Guillaume Fournier Publié le 18 Juil 20 à 1103 Un panneau d’entrée dans la commune de Poil, par la rue du moulin. ©TyseriaUn hameau tranquille dans le Morvan, 155 habitants et une auberge pour seul commerce, la ville de Poil Nièvre pourrait ressembler à n’importe quel village de la région… Si son nom n’attirait pas autant l’attention !Loin du poil à gratter qui dérange et démange, les quatre lettres qui constituent le nom de la commune sont une richesse. Sortir du lot » C’est sûr que ça nous fait sortir du lot ! », confirme auprès d’ le maire de la ville Christian Courault. Premier édile de la ville depuis 2014, il avoue ne plus faire attention à cette incongruité lors de ses discussions avec les ne le remarque plus. Quand on dit qu’on a fait quelque chose à Poil, ça ne choque les habitants n’y prêtent plus attention, ce n’est pas le cas des 10 à 15 voyageurs qui viennent quotidiennement se prendre en photo devant le panneau d’entrée du village, selon les estimations de la les poilus, il faudra revenirLa ville de Poil a aussi était victime de son succès, puisque certains voyageurs trouvaient poilants de venir dérober les panneaux à l’entrée du village… Une blague rasoir pour la commune qui doit à chaque fois repayer pour un nouveau le phénomène semble s’être calmé depuis quelques années et les Pictiens ont retrouvé leur tranquillité. Oui les Pictiens », ou Pixiens », et non les Poilus », car si la commune porte ce nom aujourd’hui, il n’en a pas toujours ainsi. Le nom de la commune vient du latin Pictia, ça n’a donc rien à voir avec le système pilleux », détaille le maire de la en ce moment sur ActuLe nom a ensuite connu de nombreuses modifications avant de prendre sa forme ville qui attireIl n’en reste pas moins que la ville, qui fait partie de lAssociation des communes de France aux noms burlesques et chantants, attire de nombreux curieux, comme l’explique Hélène Lebonnois, cogérante de l’auberge de Poil. Nous recevons des gens qui traversent la France et qui, pour faire une étape, se disent allez, on va dormir à poil ! » On ne peut pas échapper aux jeux de mots », ajoute de son côté le maire de la surfer sur cette particularité, la ville a même mis en vente des cartes postales humoristiques – allant du Je me sens bien à Poil » à » Un câlin à Poil » – dont le succès n’est pour l’heure pas côté de l’auberge, on joue aussi le jeu en imprimant sur chacun des tickets de caisse du restaurant On mange bien à Poil ». À Poil, on sait rire ! La preuve avec les gérants de l’auberge de la commune. ©Auberge de Poil_CAZIOT MatthieuElle a accueilli des célébritésLoin de passer inaperçue, la ville a aussi vu la venue de certaines célébrités à l’instar de Doria Tillier,qui a présenté la météo de l’émission de Canal + Le Grand Journal à Poil, après la qualification de l’équipe de France de football pour la coupe du monde 2014. Les Pictiens se souviennent sûrement aussi de la venue de l’humoriste Rémi Gaillard. Le récent candidat à l’élection municipale de Montpellier avait visité en 2009 le village déguisé en bombe à raser, balançant de la mousse sur les habitants de la ville. Pourquoi ? Car les poils, ça l’irrite »… Une ville au poilSi ce hameau joue avec son nom pour gagner en visibilité, c’est bien la nature qui l’environne qui reste la principale motivation des visiteurs pour se déplacer dans la région. Il y a a beaucoup de gîtes dans le coin et ceux qui viennent y séjourner constituent la plupart de notre clientèle l’été », confirme Hélène Lebonnois. Enfin, les amateurs d’exhibitionnisme risquent d’être déçus, car à Poil, il n’ y a que les arbres, qui à l’automne se dévêtissent laissant tomber leurs feuilles pour faire apparaître leurs branches…Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Actu dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites. Pour l’Observatoire de l’expérimentation et de l’innovation locales de la Fondation et Solutions solidaires, Fabien Bazin, président du Conseil départemental de la Nièvre, revient sur la nécessité d’une meilleure prise en compte des intérêts des citoyens dans la conduite des politiques publiques. Il a notamment mis en place le dispositif Imagine la Nièvre » dans son département. L’écoute et le dialogue, des objectifs en tant que tels pour restaurer la confiance La démarche Imagine la Nièvre » relève de ce qu’on appelle aujourd’hui les démarches de démocratie participative de proximité », mais elle s’en distingue par quelques idées qui ont présidé à la méthode choisie l’importance d’en restaurer les fondements, de changer de posture et la certitude que la légitimité du scrutin ne donne pas de plein droit la légitimité démocratique. La légitimité du scrutin donne le droit d’impulser et de construire la légitimité démocratique. Nous avons ainsi souhaité placer ce nouveau mandat sous le signe de l’écoute et de l’action collective, en lançant une grande consultation citoyenne au travers de larges réunions publiques avec les Nivernaises et les Nivernais pour construire ensemble le quotidien autant que l’avenir du territoire. La démarche Imagine la Nièvre » est tout d’abord née de la conscience que nous traversons plusieurs crises qui se juxtaposent et qui, à bien des égards, fragilisent l’édifice social et le pacte républicain. Une crise démocratique tout d’abord Cette crise se manifeste dans une abstention massive aux élections quelles qu’elles soient – malheureusement, le premier tour de la présidentielle n’a pas fait mentir les sondages – et trouve sa source dans une pluralité de facteurs auxquels nous ne pouvons rester sourds le sentiment de déconnexion entre les citoyens et les élites politiques », l’exercice de la politique politicienne » et descendante, un pessimisme d’injustice nourri par les inégalités et le sentiment de déclassement qui s’intensifient, le monstre de la globalisation et de la financiarisation de l’économie qui semble mépriser idées, projets, engagements et solidarités de proximité au motif de l’insuffisance de leur envergure et de leurs impacts. On constate un glissement de notre société vers la défiance populaire, le repli identitaire, le tourment rageur des lendemains qui ne chantent plus, les clivages et les désunions cultivés de façon irresponsable sur les réseaux sociaux, voire par certains médias. Ce qu’interroge la vision des communautarismes, c’est la communauté de visions. Quand la représentation est ainsi abaissée, c’est qu’il faut plus que jamais remettre l’ouvrage sur le métier, pour permettre de faire tomber ce qui entrave le débat démocratique, la possibilité même de vivre sa vie avec les autres et le climat de confiance autant que l’apaisement que cela présuppose. À cette fin, des espaces de construction démocratique sont nécessaires, espaces d’autant plus malmenés depuis deux ans de crise sanitaire. Bref, la crise démocratique n’est pas une fatalité si tant est que l’on entende cet appel à réinventer nos manières de travailler, d’écouter et de construire avec les citoyens, de rendre compte. Par ailleurs, force est de constater qu’à cette crise démocratique, d’autres viennent s’ajouter, dessinant des enjeux d’une complexité sans précédent, des vies et des envies pétries d’injonctions paradoxales, de nouvelles politiques publiques à imaginer. La crise de l’âge et la société de la longévité font aujourd’hui cohabiter jusqu’à cinq générations en même temps, naître de nouveaux paradigmes intergénérationnels face au travail, à la solidarité, à l’aidance », aux modalités de prise en charge de nos aînés, à la précarisation des jeunes. La crise climatique nous amène à repenser nos modes de production et de consommation, nos rapports aux biens communs, et de ce fait constitue autant d’opportunités qu’elle suscite des craintes si l’on ne s’attache pas à faire de la transition sociale un corollaire de la transition écologique. La crise de l’emploi et les mutations du travail, enfin. On ne connaît pas aujourd’hui la moitié des emplois qui existeront dans dix ans, la métropolisation des emplois se heurte à un exode plus urbain que rural que la crise sanitaire a considérablement accéléré une douzaine de métropoles françaises concentrent presque 50% des emplois, dont 22% pour la seule aire urbaine de Paris, les besoins sociaux explosent, l’ère numérique, c’est aussi l’exclusion numérique de certains… Face à la multiplicité et la complexité de ces crises, il peut s’avérer difficile d’appréhender les situations de vie qu’elles génèrent, de réconcilier des intérêts divergents, d’apporter des réponses pertinentes quand les politiques publiques sont cloisonnées, centralisées, faites d’habitudes et de certitudes plus que d’écoute et d’innovation. Tout est résumé dans la parole d’un jeune participant à la réunion publique du 2 mars dernier Ce qui me donnerait espoir, c’est qu’on nous écoute. » C’est en proximité que s’exprime encore un intérêt pour la chose publique et l’engagement individuel. Le département doit donc jouer son rôle de collectivité de proximité dans ce qu’il a de plus honorable et de plus prometteur parler à chacun et faire que tout le monde se parle, restaurer l’écoute et la confiance des citoyens, rêver ensemble pour transformer, créer une vision partagée et de la valeur collective pour repenser nos villes et nos villages. Comme l’a dit François Sureau dans son discours à l’Académie française, Personne n’aimerait vivre dans un pays où des institutions généralement défaillantes dans leurs fonctions essentielles, celle de la représentation comme celle de l’action, se revancheraient en [nous] disant quoi penser, comment parler et quand se taire. » Nous avons ainsi porté une attention toute particulière, d’une part, à aller chercher celles et ceux que l’on appelle les invisibles » ainsi que l’expression de la jeunesse et, d’autre part, à construire de l’innovation commune par l’union des forces au sein du triangle magique constitué des élus, des citoyens et des agents territoriaux. Une méthode ambitieuse au service d’un véritable projet de vie pour la Nièvre Certaines des démarches engagées ici et là rassemblent un nombre restreint d’acteurs, souvent les plus engagés dans la vie de la cité, peinant à réellement associer l’ensemble des habitants aux décisions les concernant. Par ailleurs, les citoyens attendent davantage que d’être ponctuellement consultés comme usagers de leur rue, de leur quartier, de leur village sur les enjeux quotidiens. Ils sont prêts et intéressés à réfléchir avec leurs élus aux questions stratégiques qui concernent l’avenir de leur territoire. L’ambition est de réellement construire le projet stratégique et politique avec les citoyens, surtout après des mois de Covid-19 qui avaient amputé les élections des temps de rencontres, d’échanges et de débat démocratique. Nous avons scindé la démarche en plusieurs phases. Les deux premières sont celles de l’écoute puis du dialogue et des propositions. Celles-ci ont été engagées au dernier trimestre 2021 et se sont poursuivies jusqu’au 29 mars 2022. La méthode est ambitieuse car elle s’appuie sur un long travail de terrain en amont des rencontres publiques pour aller chercher la parole de celles et ceux qui ne s’expriment habituellement pas. Ainsi, une équipe a sillonné le département, allant de canton en canton, pris contact avec les réseaux formels et informels, à la rencontre des habitants, des commerçants, des agriculteurs, des jeunes de tous les âges. Elle s’est rendue dans les maisons de retraite, les résidences autonomie, les missions locales, les chantiers d’insertion, les centres sociaux pour rencontrer les bénéficiaires, les associations sportives, culturelles, etc. C’est un immense travail immersif, à travers des échanges ciblés, personnalisés, des relances directes par téléphone pour inviter chaque personne rencontrée à venir témoigner, s’exprimer. Ce travail représente plus de 9000 appels téléphoniques et environ 70 réunions préparatoires pour garantir la présence de celles et ceux qui restent souvent en marge de ce type de démarche. Cela peut paraître beaucoup, mais c’est à cette condition que chaque voix est entendue, que la démocratie participative ne donne pas lieu, de facto, à une hiérarchisation de la valeur de la parole. C’est aussi dans cet objectif que la venue de toutes et tous est rendue possible par l’affrètement de minibus, par exemple. La réussite d’une telle mobilisation tient évidemment au nombre de participants, mais aussi et surtout à la variété du public, garante de la qualité du débat. Les situations de vie comme les difficultés rencontrées ne sont pas les mêmes entre Nevers et des territoires plus ruraux, entre une personne en recherche d’emploi et un télétravailleur installé de manière semi-permanente dans la Nièvre, selon que l’on dispose ou non d’un véhicule, selon l’âge que l’on a, etc. Ce travail effectué, nous organisons une dizaine de réunions publiques sur l’ensemble du département, des territoires urbains aux territoires ruraux, de salles des fêtes en tiers-lieux, de gymnases en abbayes quatre rencontres citoyennes se sont déroulées en février à la Charité-sur-Loire, Imphy, Arleuf et Sermoise, cinq sont organisées en mars à Vauzelles, Corbigny, Marault, Cosne-sur-Loire et Nevers. Une réunion entière est dédiée aux jeunes qui ont rarement la parole, pour qu’eux aussi s’expriment sur leur vision du territoire, sur ses atouts, sur leurs attentes au quotidien et pour l’avenir, sur ce que le territoire peut faire pour eux et nous découvrons aussi ce qu’il y a de plus précieux ce qu’eux veulent faire pour la Nièvre. Ces réunions rassemblent à chaque fois entre 130 et 180 personnes, et ce malgré le froid, les vacances scolaires et la fête de la Saint-Valentin. À l’issue de chaque rencontre se tiennent des ateliers de propositions pour approfondir les enjeux collectivement abordés en première partie de soirée. L’éventail des sujets est large, les débats libres et ouverts, entre autres autour des conditions de vie et d’épanouissement dans le département, l’équilibre des territoires, les modèles et modalités du développement de la Nièvre, l’emploi, la formation, le cadre de vie, la mixité sociale, la vie ensemble, la transition énergétique, agricole… Deux rapporteurs volontaires sont identifiés sur chaque atelier, ils seront mobilisés en avril pour préparer la restitution générale de la démarche à laquelle ils prendront une part active. Nous en sommes convaincus l’herbe n’est pas toujours plus verte ailleurs, elle est verte d’abord là où on l’arrose ensemble. Déjà plusieurs centaines de propositions nous sont parvenues et environ 500 sont attendues d’ici à la fin de la démarche. Elles vont venir alimenter la troisième phase, essentielle pour opérer durablement de vraies transformations. La troisième phase est celle de l’enrichissement que nous mènerons d’avril à mai 2022. Elle s’appuie en outre sur huit réunions supplémentaires qui font l’objet d’échanges avec les agents du département. Il est fondamental qu’eux aussi nous donnent leur ressenti sur leur travail, l’utilité et le sens qu’ils y donnent, les difficultés qu’ils rencontrent, leur vision du territoire et de son développement. Il s’agit de mettre en discussion et de partager avec l’ensemble des services du département et les élus, autour des paroles et éléments recueillis tout au long de la démarche. Élus comme agents du département sommes soumis à une certaine inclinaison humaine à se nourrir souvent du passé, des compétences acquises, de ce que nous connaissons et maîtrisons, plutôt que de faire un pas de côté et construire à l’aune des mutations et des attentes à l’œuvre. Cette phase est donc une étape clé, c’est celle qui permettra de passer des rêves et des idées aux modalités de leur concrétisation. Elle est déterminante car elle donnera collectivement du sens aux transformations. Enfin, la dernière phase sera le temps de la restitution mi-mai 2022 avec l’organisation d’une grande rencontre publique – pas moins de 1200 personnes sont attendues. Il s’agit de passer des enjeux exprimés dans les débats et des propositions émises par les groupes de travail à des orientations et des engagements du Conseil départemental. Ils incarneront notre volonté de s’appuyer sur l’intelligence collective des Nivernaises et des Nivernais pour rassembler et faire avancer la Nièvre. Cela demandera du temps et de l’engagement car nous voyons déjà que l’un des enseignements clés est le sentiment aigu que l’empilement des dispositifs, si importants soient-ils pris isolément les uns des autres, ne remplace pas la construction des projets de vie des citoyens. Nous sentons aussi qu’ils veulent inscrire leurs projets de vie dans celui d’un territoire dont ils sont parties prenantes. Et la suite ? Les Nivernaises et les Nivernais qui se sont exprimés identifient des éléments de blocage au développement du département, mais aussi de fort potentiel pour son avenir. De prime abord, des paradoxes, mais qui traduisent avant tout leurs inquiétudes et leurs espoirs d’un côté, la crainte que la Nièvre ne poursuive son déclin sur certains secteurs clés de l’économie, notamment l’industrie et l’agriculture, évoquant ce déclin comme la cause mécanique du vieillissement, de la précarisation et de l’isolement des habitants, de l’autre, des atouts bien identifiés et sur lesquels capitaliser, tels que l’environnement préservé, la diversité des paysages et des identités, la qualité de vie, la vie culturelle et associative. Les rencontres citoyennes et les propositions qui en sont issues soulignent également un paradoxe autour de l’emploi beaucoup d’entreprises cherchant à recruter n’y parviennent pas, et des jeunes cherchent un emploi sans parvenir à trouver, ni même à réellement connaître l’offre existante dans leur territoire. Ils évoquent de concert la nécessité de construire un éco-système » pour que les jeunes Nivernais et les entreprises se rencontrent plus facilement, des dispositifs de mentorat pour accompagner les jeunes et les aider à s’épanouir et réussir dans la Nièvre. Trois grands chantiers nous attendent D’action d’abord, car les Nivernaises et les Nivernais débordent de propositions ! Au-delà des inquiétudes qu’ils expriment sur les déserts médicaux, la prise en charge des aînés, le manque d’accessibilité du territoire, le besoin de formations post-bac tournées sur les atouts du département ressources naturelles, industrie automobile…, c’est la fierté de leur territoire chevillée au corps qu’ils évoquent, les atouts de la Nièvre et leur envie de voir se développer des lieux pour mieux se connaître et mieux vivre ensemble. Ces rencontres mettent à l’évidence en lumière l’envie d’une cohésion sociale fondée sur la solidarité et l’accomplissement de projets au service et dans le respect de toutes et tous. Parmi les centaines de propositions qui ont déjà été formulées, les citoyens convergent sur de nombreux sujets le souhait de villes et de villages où règnent la convivialité et la solidarité avec la volonté de voir naître des tiers-lieux, des cafés associatifs, la valorisation des quartiers et le besoin de rencontres régulières, faire de nos cités des lieux où les jeunes peuvent concrétiser leurs projets, où la culture retrouve une place centrale dans la construction du lien social ;l’ambition partagée d’un développement urbain avant-gardiste et maîtrisé » en valorisant le patrimoine, en protégeant et créant des espaces verts, en travaillant sur l’alimentation responsable, saine et partagée, en luttant contre l’urbanisation sauvage de certaines zones, en ouvrant des structures comme les gymnases pour démocratiser l’accès au sport, etc. ;la volonté de villes attractives en renforçant les dynamiques commerciales brocantes, vide-greniers, marché gastronomique, apéritifs musicaux, food trucks…, favorisant la réussite des jeunes, en améliorant la qualité des établissements scolaires, en développant les villes familiales, en favorisant l’accès à un logement pour tous… En somme, les idées sont nombreuses, l’envie de faire avec les élus aussi. Ensuite, le deuxième chantier porte sur l’adaptation du projet départemental et d’engagement au long cours ! De grandes orientations ont été dessinées par le Conseil départemental, elles rencontrent pour une part considérable les attentes qui sont en train de s’exprimer. C’est heureux, cela va nourrir le projet départemental, venir le compléter, le faire évoluer, le concrétiser. Le projet politique et stratégique pour la Nièvre doit s’inscrire dans un véritable récit du territoire, résultat du croisement de la vision des habitants, des experts, des services et des élus, donnant un socle commun aux 17 cantons, pour mettre en œuvre la transformation du territoire. Pour cela, nous sommes convaincus de la nécessité d’un engagement durable auprès des citoyens, pour construire les projets avec eux, pour les faire vivre, pour rendre compte aussi. Quand on a goûté à cette parole qui circule librement, sans sectarisme, en dialogue direct, la parole d’habitants de tous âges qui ont laissé parler leur cœur, exposant leurs espoirs, leur confiance en la jeunesse, mais aussi leurs inquiétudes, leurs regrets et leurs envies, non seulement on y prend goût, mais on ne peut pas s’autoriser à décevoir. Nous souhaitons donc poursuivre cette même démarche déclinée sur les grands enjeux que les Nivernaises et les Nivernais ont identifiés. Enfin, le dernier chantier est celui de l’organisation et de la structuration car cette mobilisation et ces volontés qui se manifestent doivent pouvoir s’inscrire dans un cadre collectif permettant leur concrétisation, dans un souci d’articulation avec des initiatives préexistantes et d’élaboration de cadres démocratiques nouveaux, durables. À travers cette démarche, sonne un appel vibrant à une citoyenneté active, fière et solidaire. Pour être durable, l’engagement citoyen doit être conforté par celui des élus et des services et par une capacité d’innover dans la mise au point des décisions à venir. Nous le savons, la démarche Imagine la Nièvre » générera aussi des tensions, mais ce sont des tensions utiles. Elle posera la question de l’évolution des postures de chacun et des modes de travail des agents, des élus, et avec les citoyens. Travailler de manière moins descendante relève d’un profond changement de culture dans le travail. Cela doit être pris en compte et accompagné dans le temps. Autre type de tension à venir la question des moyens. Avec plus de 500 propositions attendues, in fine, il est évident que des choix stratégiques devront être faits. Il ne s’agit pas de sacrifier des pans entiers de notre action, mais de les adapter et de construire les décisions d’allocation budgétaire en s’appuyant, non pas sur des besoins qu’agents et élus préjugent, mais bien sur des besoins que les citoyens auront eux-mêmes formulés, analysés, priorisés. 5 Nuit de cauchemar » Une CRS arrive dans le quartier du Banlay, à Nevers, après une nuit de violences et de dégradations Ci-dessous vous pouvez explorer quelques-uns des points forts et des lieux d'intérêt dans le département du Nievre de la région Bourgogne. Voir aussi notre Nievre guide de voyage Clamecy La Collégiale Saint-Martin est le monument principal dans le centre historique de Clamecy Voir le guide Corbigny A Corbigny, situé à la frontière du parc régional Morvan, se trouve une abbaye et d'autres monuments culturels Voir le guide La Charité-sur-Loire A La Charité-sur-Loire vous pouvez visiter l'église abbatiale et d'autre bâtiments monastères Voir le guide Nevers L'ancien centre de Nevers contient plusieurs monuments et maisons intéressants datant du 12ème siècle Voir le guide Parc naturel régional du Morvan Le parc naturel régional de Morvan est une région paisible regorgeant de campagne préservée où vous trouverez des petits champs, des haies et des bois Voir le guidePour plus d'informations voir le guide de NievreJours et villes des marchés de Nievretous les marchés du matin, sauf indication contraire Clamecy SamediCorbigny VendrediCosne-Cours-sur-Loire Mercredi & Dimanche & VendrediDecize VendrediFourchambault DimancheLa Machine SamediMontsauche-les-Settons Jeudi toute la journéeNevers Samedi toute la journée Attractions et sites touristiques à visiter en NievreLes sites suivants ont reçu les "classifications touristiques" officielles...Ville d'etapePougues-les-EauxSites du patrimoineAbbatiale Notre-Dame de La Charité-sur-Loire chemins de pèlerinage Voir guide touristique Monuments ReligieusesEglise de Notre-Dame-du-Pré DonzyEglise de Saint Barthélémy CervonPrieuré de Saint Révérien Saint-ReverienSt Aignan de Brinay BrinayJardins remarquableForgeneuveJardin de la ChauxJardin du château de LimantonParc et jardin du château du Chatillon en Bazois

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